hier soir, concert des white stripes à l’olympia. pas vu le tout premier concert, juste peaches, qui m’a passablement gonflé passé les cinq premières minutes.
après, meg et jackie white sont arrivés. il faisait très chaud! un boucan pas possible vu qu’ils ne sont que deux. ok ils n’ont pas de basse, mais jack white il a deux amplis en même temps. je connaissais pas mal de chansons, tiens! hotel yorba, très réussi, des trucs de elephant qui ont déménagé comme pas possible, en particulier ball and biscuit (avec des solo de blues en pentatonique pas possible) et bien sûr seven nation army au début du rappel, nom de nom comme elle est bien cette chanson! il a une guitare en open tuning pour la jouer, d’ailleurs.
ça m’a plu globalement, on ne m’enlèvera pas de l’idée que le buzz autour d’eux est quand même un peu exagéré. c’est marrant parfois ils ont vraiment l’air de deux ados qui répètent dans leur garage. et aussi, ils auraient pu se laver les cheveux, c’est l’olympia quand même! ouais mais jack white il en perd une poignée àchaque fois qu’il les lave, aaaaa d’accord. meg a un jeu de batterie assez spécial quand même, avec beaucoup de tom basse notamment, ça sonne un peu à la maureen tucker.
à noter, assez remarquable : ils n’ont aucun micro shure. la voix de jack était un peu criarde, ça a peut être un rapport.
alerte star niveau orange : jackie berroyer (il souriait pas mal).
(c’est salebete qui fait des alertes vedette, j’adore)
update : bien sûr j’étais avec bertrand pour ce concert, c’est lui qui m’a fait remarquer pour les micros. il s’est fait embêter par un monsieur qui lui donnait des coups de coude en dansant.
rouge et blanc, c’est le signal, pas de répit, pour les amplis
julien - - Uncategorized - Leave a reply