la distance euclidienne entre pink floyd et sum 41

tenez regardez ces deux machins.
t’as des goûts de chiotte c’est rigolo non ?
gnod c’est pas mal non plus non ? par exemple ça peut donner ça.
bon. je m’interroge. la première question c’est : l’espace artistique est il mesurable ? quelle est la distance qu’on lui applique ? parce que je trouve ça bien rigolo les noms de groupes qui s’approchent et qui s’éloignent, mais après ?
deuxièmement, on peut noter la présence d’amazon.com dans ces deux sites. ça veut dire qu’au finish si la découverte d’un nouveau groupe se concrétise, ça va tomber dans leur poche…
quand on va sur amazon.com un tout petit peu régulièrement on a l’impression qu’ils connaissent nos goûts et nos discothèques par coeur. eux ils ont trouvé le truc, pour mesurer la distance. j’aimerais bien savoir comment ça marche, je pense qu’il s’agit principalement de filtrage collaboratif (monsieur x va voir la page du groupe y et du groupe z, donc y et z sont “proches”, après on agrège sur des millions de gens) mais encore ? ça fait un drôle d’effet de penser que d’un comportement individuel tout simple (je browse amazon pour voir les nouveaux disques, et les anciens, etc) peut émerger quelque chose qui a beaucoup de sens, et sans doute beaucoup de valeur.
ils doivent avoir une base de données phénoménale, un pavage de l’espace de la musique, et ça doit coûter bonbon pour avoir des licences.
pffffffff.

One thought on “la distance euclidienne entre pink floyd et sum 41

  1. Jérôme

    Enfin, ce rapprochement à la amazon a tout de même ses limites. Les fans de eels, calc… ne seront-ils pas surpris de se voir conseiller un album des L5 ?

    🙂

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