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google entreprend de scanner la totalité des ouvrages se trouvant dans un certain nombre de bibliothèques universitaires américaines (voir leur communiqué de presse). harvard est dans le lot, et christine, qui tient le blog bostonien suhiesque, raconte son entrevue avec la personne de google print et indique comment ils s’y prennent, techniquement:
rather than cracking them wide open for scanning, or guillotining them and putting the loose pages through a feed scanner, the books will be laid open (but not flattened) on stations equipped with two scanning devices: a camera to take the digital images of the pages, curves and shadows and all, and an infrared scanner to capture the three-dimensional shape of the pages. the data will be sent real-time to california, where google will process it to create clean, flattened images of the pages. damn.
pas mal non?
Et pour ce qui est de tourner les 100.000 pages sans abimer les livres?
ils en parlaient l’autre jour sur france inter, avec des intervenants s’inquiétant de cette initiative car "cela va renforcer l’omniprésence de la culture américaine, via google".
mais qu’attendons-nous pour scanner la BNF ??