j’ai vraiment bien aimé le début de king kong, jusqu’au moment où la troupe arrive dans l’île. personnages bien campés, chouette ambiance. après, l’histoire d’amour entre naomi watts et le géant poilu est super cucul bien sûr… et aujourd’hui je découvre que peter jackson aurait mieux fait de tourner un remake de ingagi (pas encore trop imdbisé), film de 1930 dont king kong première mouture est inspiré selon cet article du l.a. time, on aurait sans doute eu droit à des passages plus gore, voire à une scène d’amour simiesque, puisque:
the movie purports that not only are tribal women sacrificed to the “ingagi,” but some otherwise barren women mate with the gorillas by choice in order to conceive.
…quel bad taste.
Quant a Franck et le vendeur du MK2 Quai de Loire, leur avis est que la premiere heure et demi est trop longe. Moi c’est l’inverse.
Je me suis surpris a bien aimer la reconstitution de l’ambiance des rues de NY des annees 20 (surtout quand on imagine tout ceci en studio en Nouvelle Zelande).
La course-poursuite sur l’ile, c’est du vrai (pas trop credible) spectacle.
J’ai du mal a croire qu’Inagi, avec ses yeux de merlans frits, puisse faire mal a une femme. Je serais curieux de le voir, le bougre.
Quand tu parles du début de King-Kong, tu parles aussi de cette scène siiiiiii subtile où Jackson fait un (très) gros plan sur Jamie Bell en train de lire Heart of Darkness de Joseph Conrad, avant d’en faire un commentaire de texte avec son pote, pour que le spectateur distrait comprenne bien que ce voyage, c’est vraiment un voyage au coeur des ténébres, un peu à la Apocalypse Now ??? 😀
Mais c’est vrai que ces personnages archi-clichés sur le bateau (le capitaine, sa casquette, son caban : superbe) sont super bien campés !! 🙂
vu la taille de l’animal, la subtilité ne pouvait sans doute qu’être laissée à la soute…