alors comme ça, les artistes cachent des messages sataniques dans leurs chansons, et c’est en les passant à l’envers (les chansons) qu’on les déchiffre (les messages)? la preuve en flash avec stairway to heaven, les beatles, les pink floyd, et britney, un peu capillotractée
alerte vedette: j’en reviens pas de ne pas avoir pensé à vous le dire avant, le week-end dernier on a croisé drew barrymore dans notre rue. bon, ok, elle tournait un film (adaptation de carton jaune – fever pitch de nick hornby par les frères farelly, avec le football transformé en base ball) et il avait plein de monde, on n’a pas pu trop discuter. elle a un peu maigri, dis-moi. est-ce qu’elle a recommencé à prendre de… oh, tais-toi, mauvaise langue.
un interlude folk-country : reprise live de two headed boy par the mountain goats (version originale par neutral milk hotel), et un extrait du prochain clem snide : fill me with your light
chryde analyse les tendances musicales et sous-vestimentaires de quelques films américains indépendants. je plaide couplable: lost in translation – eternal sunshine – garden state
un morceau de sunshine fix (ex-olivia tremor control): enjoy the teeth
andrew pants est un canadien qui fait le site songs to wear pants to. le principe: vous lui ecrivez un email et il écrit une chanson selon vos instructions, plus ou moins. un morceau très réussi: underage stalkers, à la green day.
des photos en couleurs de la première guerre mondiale
si vous voyagez en first sur air france, on vous donne un ipod mini
gino a posté un chouette morceau emocore du groupe jejune: the early stars
le groupe de surf music instrumentale surf report vous propose naugahide. ça rappelle pulp fiction et ça met de bonne humeur pour fêter la sortie de smile.