On retrouve dans les quasi-cristaux les mosaïques fascinantes du monde arabe, reproduites au niveau atomique : des motifs réguliers qui ne se répètent jamais. Pourtant, la configuration retrouvée dans les quasi-cristaux était considérée comme impossible, et Daniel Shechtman a dû se battre contre la science établie. Le Prix Nobel de chimie 2011 a changé fondamentalement la façon dont les chimistes conçoivent la matière solide. (via Des quasi-cristaux quasi-périodiques | Ma galerie)

I am a chien andalusia !, voilà ce que ça dit : Buñuel, ma chère, et pas shit ! wanna lose ya ! (via Pixies (1) – Musiques – Télérama.fr) – François Gorin sur les Pixies

The word “ampersand” came many years later when “&” was actually part of the English alphabet. In the early 1800s, school children reciting their ABCs concluded the alphabet with the &. […] the students said, “and per se and.” “Per se” means “by itself,” so the students were essentially saying, “X, Y, Z, and by itself and.” Over time, “and per se and” was slurred together into the word we use today: ampersand. (via How ampersand came from a misunderstanding | The Hot Word | Hot & Trending Words Daily Blog at Dictionary.com)

Apparemment vrai aussi pour “esperluette” selon wikipedia : Il semble que l’esperluette ait été considérée comme la 27e lettre de l’alphabet jusqu’au xixe siècle. Selon le Trésor de la langue française, le &, dernière lettre de l’alphabet, était appelé ète, et les enfants apprenaient à l’école élémentaire à réciter l’alphabet en ajoutant après « Z », les mots latins « et, per se, et » (« et, en soi, ‘et’ ») prononcés « ète-per se-ète », comme moyen mnémotechnique. L’appellation du caractère « & » aurait découlé de cette habitude sous la forme de perluète ou esperluette. L’étymologie du mot anglais ampersand est très similaire (and, per se, and). L’étymologie occitane est aussi évoquée, es-per-lou-et, en français c’est pour le « et », indiquant que le caractère & veut dire « et ».

Friedberger + Murakami = bon week-end

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The Long Tomorrow

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The Long Tomorrow is one of Moebius’ most significant works. Here is where he first delved into his future-city-as-vertical-sprawl motif, and it is this comic specifically that Ridley Scott used as his primary visual reference for Blade Runner. It was also written by Dan O’Bannon who, after Alejandro Jodorowsky’s adaptation of Dune collapsed, went on to write the script for Alien. He brought Moebius with him, who did costume design(particularly the space suits). O’Bannon, if I remember correctly, also wrote the first draft of Blade Runner.

Moebius would revisit his cities of unfathomable dystopian height when reteaming with Jodorowsky on The Incal. Many films have taken visual inspiration from this, most obviously Luc Besson’s The Fifth Element.

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The cover of Weezer’s Blue Album as a bar graph.

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