rom, trois fois, jeudi (chapeau bas):
d’abord michel chevalet (monsieur “comment ça marche ?”) au volant d’une fiat uno bleue près de chez moi, ensuite axelle red au métro trocadéro puis l’actrice qui jour le rôle de jeanne dans “caméra café” au métro madeleine.
bertrand:
jacques pradel, retrouvé de vue avec 50kg de gagné dans le bide, rue francois premier.
french:
miossec et helena, à quelques minutes d’intervalle à montmartre.
venus williams nous relate le concert de divine comedy:
hier martina hingis m’a laissé son fauteuil pour le concert de neil au magnus roi. ça a salement commencé, c’etait bondé, on était au second balcon, son pourri, ambiance gala voire croisière france loisirs, alfie tout mou avec solo de guitare aigrelet estampillé john mac enroe. les bits 1 pour des titres d’absent friends, les bits 0 pour ce qu’il appelle des vieilleries mais qui sont pas plus vieilles que la fin de siècle. piano et basse qu’on n’entend pas, mauvaise balance vents/cordes. bref, déception à l’intermission. surtout pour les “vieux trucs”.
et puis seconde partie et là le son est mieux et la fouille plus profonde, jusqu’à 3 sisters (version tango) le seul titre de liberation. votre ami vincent delerm vient pour narrer du “je me souviens” pendant booklovers. on a droit à 4 autres chansons de promenade : neptune’s daughter, don’t look down, when the lights, tonight we fly. la meilleure chanson du concert est our mutual friend, 4 accords ça suffit quand c’est les bons. le rappel est expédié : something for the week end et pour finir en beauté, cette grosse daube de sunrise. aucune chanson de regeneration.