dans le new yorker de cette semaine, une nouvelle de haruki murakami, traduite en anglais par philip gabriel, je crois qu’elle est inédite. elle s’intitule where i’m likely to find it
dans le new yorker de cette semaine, une nouvelle de haruki murakami, traduite en anglais par philip gabriel, je crois qu’elle est inédite. elle s’intitule where i’m likely to find it
une fois imprimée, puis lue dans le métro, c’est une nouvelle agréable et légère qui m’a fait oublier la bande de toulousains en pleine démonstration de chansons à boire qui me collait dans le wagon.
moi aussi j’ai fini par la lire, dans le métro également. j’imagine le contraste entre le détective existentiel et les chanteurs…